Le blog du CEPII
Anne-Laure Delatte




L’euro : 20 ans, l’âge de raison

 Audio du 25 janvier 2019
Par Anne-Laure Delatte
  00:59:03
Sortir de l'euro pour revenir au franc voudrait dire que toute notre dette, libellée en euro, nous reviendrait beaucoup plus cher. Ce serait catastrophique et les gens ont compris ce qu'il pourrait se passer.


La sauvegarde de l’euro n’est pas qu’une question économique

 Billet du 26 novembre 2018
Par Anne-Laure Delatte
L’agenda de réformes de la zone euro est paralysé par des intérêts nationaux contradictoires. Les pays créanciers exigent des efforts budgétaires tandis que les pays débiteurs demandent un partage des risques. Le débat sur la manière dont l'ajustement des dettes publiques devrait être réparti est aujourd’hui dans une impasse, entretenant une vulnérabilité contraire à l'intérêt collectif des membres de la zone euro. Ce billet, partie du débat de Vox sur la réforme de la zone euro, affirme que pour surmonter cet échec de coordination, il est nécessaire de réformer la gouvernance politique de l'UE, et pas seulement sa gouvernance économique.
Ce billet a d’abord été publié en anglais sur VoxEu.

Fixing the euro needs to go beyond economics

 Billet du 29 octobre 2018
Par Anne-Laure Delatte
The agenda to fix the euro is hampered by conflicting national interests. Creditor countries demand fiscal house cleaning and debtor countries ask for risk sharing. There is currently a political deadlock about how the adjustment burden should be distributed, perpetuating a state of vulnerability that is not in the collective interest of euro area members. This column, part of the Vox debate on euro area reform, argues that overcoming this coordination failure requires reforming the political governance of the EU, rather than just its economic governance.
This post has been first published on VoxEU.

Les banques défient la gravité dans les paradis fiscaux

 Billet du 3 octobre 2018
Par Vincent Bouvatier, Gunther Capelle-Blancard, Anne-Laure Delatte
Ce billet, déjà publié sur Voxeu, examine la contribution des banques de l'Union Européenne (UE) à la fraude fiscale. Il montre que l'activité bancaire dans les paradis fiscaux est trois fois plus importante que celle que prévoit le modèle de gravité. Il souligne également que les banques britanniques et allemandes sont particulièrement présentes dans les paradis fiscaux.

Banks Defy Gravity in Tax Havens

 Billet du 21 septembre 2018
Par Vincent Bouvatier, Gunther Capelle-Blancard, Anne-Laure Delatte
This post, already published in Voxeu, examines the contribution of EU banks to tax evasion. It presents the new finding that bank activity in tax havens is three times larger when using new country-by-country regulatory data than what is predicted by the gravity model, and that British and German banks are particularly present in tax havens.

10 |  20 |