Hommage à l'économiste français Michel Aglietta, théoricien de la régulation, grand spécialiste de la monnaie et des institutions économiques, décédé à l’âge de 87 ans.
Les sanctions promulguées à l’encontre de la Russie depuis février 2022 sont souvent contournées. Pour autant, elles n’ont pas été inefficaces car la Russie est contrainte de payer bien plus cher pour ses importations, notamment celles de biens utilisés sur le champ de bataille.
À l'heure où la nouvelle politique commerciale de Donald Trump remodèle la mondialisation, plusieurs questions se posent. Jusqu'où peut aller l'affrontement économique entre les deux géants mondiaux ? Qui a le plus à perdre ? Est-ce que les Européens peuvent en tirer profit ?
Les États-Unis sont la première destination des exportations de l’Union européenne (UE) (hors Marché unique). Alors que les tensions commerciales transatlantiques s’accentuent, certains secteurs du Vieux continent sont particulièrement exposés à un risque de fermeture du marché américain.
Depuis sa prise de fonction, Donald Trump a laissé libre cours à sa « tariff mania », taxant certains pays et certains produits plus que d’autres, jusqu’à mettre en place des droits de douane réciproques. Il en résulte un large éventail de droits à l’entrée sur le marché américain.
Retour vers le futur. Un voyage dans le temps s’impose pour comprendre les conséquences potentielles des droits de douane mis en place en 2025 par la nouvelle administration Trump. Revenons donc sur les effets de ceux imposés lors de son premier mandat, en 2018 et 2019.
Les annonces formulées par Donald Trump de nouvelles taxes douanières ont eu l’effet d’une déflagration dans les économies mondiales. L’Union européenne peut-elle répliquer et comment ?